Des auteurs qui parlent de l’Algérie dans leur livre.

Sujet toujours très délicat de dialoguer sur l’histoire de l’Algérie, des débats dirigés par l’historien Luc Révillon à la librairie Bulle au Mans, avec la rencontre de trois auteurs.

Blancou  avec le livre ” Retour à Saint-Laurent-des-Arabes “.

L’histoire :

Robert Blancou et Claudine Cartayrade, jeunes instituteurs nommés aux postes de Saint-Maurice-l’Ardoise pour la rentrée de 1967, découvrent une réalité dont ils ignorent tout : la condition des Harkis dans les camps militaires. Sans véritablement mesurer l’impact des traumatismes endurés par les familles, ils tissent des liens privilégiés jusqu’à la révolte de 1975 qui mènera à la fermeture du camp un an plus tard.

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Azouz Begag (Auteur et homme politique) avec le livre ” Les Leçons coloniales ”

L’histoire :

 Azouz BEGAG & Djillali DEFALI – Leçons coloniales (éd. Delcourt), 2012. Bande-dessinée. Janvier 1945. Algérie. Marie Delmas arrive de Métropole pour prendre son premier poste d’institutrice à Sétif. Chargée de promouvoir la scolarisation des enfants indigènes, elle éprouve des difficultés dans son projet d’école mixte. Sa route croisera celle de deux jeunes algériens, Amor et Fatma, rêvant à leur avenir commun, même si le monde qu’ils ont toujours connu est sur le point de s’écrouler…

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Jérôme Ferrandez (Auteur de BD et Illustrateur) avec le livre  ” Carnets d’Orient et d’Alger la noire

L'histoire : 

Alger, fin janvier 1962. Sur l'une des plages de la ville, on retrouve les cadavres nus de deux jeunes gens enlacés. Elle est européenne, lui arabe. Il est émasculé et son dos arbore, gravées au couteau, les trois lettres " OAS ". Exécution presque ordinaire au titre du nettoyage ethnique, comme on pourrait le penser en ces temps plus que troublés ? Ou bien l'assassinat de Mouloud et d'Estelle cache-t-il autre chose ? S'échappant de la terne routine de son commissariat de Bab El Oued, l'inspecteur Paco Martinez mène l'enquête flanqué de l'irascible Choukroun, le vieux flic juif qui lui sert de mentor. Rythmées par les plasticages et les règlements de compte, qui ne cessent d'empoisonner un peu plus une atmosphère déjà irrespirable, leurs investigations les conduiront dans les coulisses et les arrières cours bien peu reluisantes de la grande ville, entre passions politiques, affairisme, banditisme, moeurs dissolues et violence omniprésente. Oui, décidément, Alger la blanche pourrait tout aussi bien s'appeler Alger la noire... 

Trois ans après avoir mis un point final à ses Carnets d'Orient, Jacques Ferrandez renoue avec sa passion pour Alger à l'orée des sixties, dans un grand polar bien sombre inspiré du roman de Maurice Attia.

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Interviews :.

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Samuel Chauveau responsable de la librairie bulle, avec Azouz Begag :

Quelques images :

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